REPOS PHYSIOLOGIQUE musculaire postural de la mâchoire inférieure (mandibule)
Contrôle postural réflexe, face à la gravité terrestre1 : au repos physiologique des muscles posturaux des mâchoires (Fig.1), la mâchoire inférieure (mandibule) est stable et la consommation énergétique de ces muscles est minimale (Fig.2) Cette situation privilégiée est parfaitement reproductible.
Déglutition physiologique. Dans ces conditions physiologiques, la déglutition salivaire se réalise "en dents serrées". La langue s'élève dans le palais, avant de presser les procès alvéolaires. Lors du pic pubertaire (Auxologie), ce comportement lingual favorise la croissance et la maturation osseuse du palais, des fosses nasales et des sinus. Le patient ne présente aucune gêne, ni douleur posturale.
C'est la "relation myodéterminée asymptomatique" (Occlusodontologie, A. Jeanmonod, 1988).
La déglutition infantile (= déglutition atypique de l'adulte) est responsable d'une surcharge de travail pour les muscles posturaux. Cet excès de charge de travail ne peut se faire qu'aux dépens de la phase de repos des muscles.
L'absence du repos physiologique, réflexe ou volontaire (sucion du pouce, habitudes néfastes, tics, etc.), induit systématiquement la fatigue musculaire, la douleur posturale ou crampe musculaire ("myalgie").
Les conséquences portent plusieurs noms : syndrome de Costen, SADAM, STM, etc.
DEGLUTITION atypique
Vestige survivant de la déglutition infantile, la déglutition atypique est caractérisée, chez l'adulte, par un travail lingual dans le seul plan transversal (syn. horizontal, Fig.3, Vidéo). Agissant de la sorte, 1500 à 200 fois par jour, pour transiter un peu moins d'une demi-tonne de salive par an vers l'œsophage, la langue arrête prématurément l'éruption dentaire (adolescence) et empêche toute occlusion des arcades dentaires antagonistes (opposées).
L'étalement horizontal de la langue entre les deux arcades dentaires arrête prématurément l'éruption dentaire (permutation dentaire, enfants et adolescents). De plus, il freine la croissance et la maturation de l'os alvéolaire contenant les racines des dents : le palais ogival reste étroit et profond, les fosses nasales peu perméables ou encombrées et les sinus mal ventilés (Fig.4). La déglutition atypique touche plus de 75% des adultes, mais seuls 15 à 17% en subissent toutes les conséquences : malocclusion, shuintement, céphalées, myalgies posturales (douleurs), acouphène, apnée du sommeil, etc.
Compensation de la déglutition atypique : (ré)éducation volontaire de la langue (Logopède, Orthophoniste), appareil d'orthodontie, amovible ou fixe (grille anti-langue, ODF), divers actes chirurgicaux. Les résultats sont aléatoires et inconstants.
BIO-ORTHODONTIE sans l'appareil, fixe ou amovible, d'ODF
Traitement par REIOR2 & GAL3 (Cotton G, 1999). La déglutition infantile arrête prématurément l'éruption dentaire : les couronnes des dents restent enclavées dans la gencive (Fig.5 et Fig.6). Dès l'âge de six ans, la mise en place de REIOR modifie la posture linguale : ses élévations dans le palais et ses compressions de l'os alvéolaires. Ces réflexes sont immédiats. Les REIOR autorisent une reprise de la phase éruptive des dents (adolescents : pic pubertaire), catalyseurs automatiques (réflexes) de la croissance verticale (Fig.7) ou horizontale (transversale, Fig.4) de tous les tissus durs et de leur maturation (os alvéolaire, maxillaire, palatin et sinusal).
Conséquences fonctionnelles - à long terme - des REIOR : occlusion asymptomatique (posture), déglutition salivaire physiologique "en dents serrées", respiration nasale facilitée, amélioration du transit aérien dans le carrefour aéro-digestif (ronflements moins bruyants, voire inaudibles), réduction ou disparition des phases d'apnée, etc.
PMRI & PO - Plan de morsure transformé en Prothèse Occlusale thérapeutique en 4 à 10 jours ouvrables
La perception des dents naturelles est précise au 100ème ou au 1000ème de millimètre. Le PMRI-PO est un appareil provisoire. Plus le patient traité attend inutilement avant de transiter vers les prothèses définitives, plus les symptômes douloureux seront nombreux et variés. Retarder le traitement définitif revient à prendre beaucoup de risques, dont la responsabilité n'incombe qu'à celui qui fera seul ce choix : le patient.
Les résultats acquis en fin de traitement par PMRI ne varient jamais, sauf avec le temps (usure aléatoire de la résine) ou lors d'une intervention iatrogène intempestive et incompétente. Seuls ceux-ci entraînent la réapparition de douleurs posturales (crampes ou myalgies au niveau de la tête, de la nuque, du dos, des membres, etc.)
Il est donc impératif de remplacer, au plus tôt, la résine du PMRI-PO par un matériau ayant les mêmes propriétés physico-chimiques que l'émail des dents naturelles : porcelaine et/ou métal. Si le métal offre peu d'esthétique dentaire (mâchoire du style "RoboCop", 1987), le biscuit glacé de porcelaine offre les meilleurs résultats. Quant aux matériaux composites, ou plombs "blancs" collés sur l'émail, il ne sont pas assez résistants : usures, fractures, etc.
Quelques rares patients choisissent librement une "expérimentation individuelle", plutôt que le passage immédiat à la prothèse définitive en métal et/ou en porcelaine : attendre plusieurs semestres pour vérifier la stabilité du repos physiologique musculaire acquis par le traitement occlusal, vérifier le temps de résitance de la résine, observer jusqu'où l'appareil peut stabiliser l'occlusion sans se fracturer, chercher d'autres alternatives que le traitement définitif conseillé par le praticien, expérimenter un second ou un troisième PMRI, etc. Une expérience PMRI-PO de plus d'un quart de siècle permet d'éviter totalement ce genre d'expérimentations. Les responsables, qui transgressent ainsi les règles parfaitement établies depuis plus de 25 années, le feront mais à leurs dépens et seuls frais.
EXAMEN OCCLUSAL - Il existe deux manières d'analyser le comportement de la bouche.
ANALYSE STATIQUE | ANALYSE DYNAMIQUE | |
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HYDROFLOSS "Oral Irrigation"
Oral irrigation with plain water using a water jet device has consistently shown significant reductions in gingival bleeding and gingivitis across numerous clinical trials.49-51 This reduction in gingival inflammation has also been shown in patients who have special challenges with oral homecare, including those with a history of periodontal disease, interarch jaw fixation, diabetes, dental implants, extensive crown and bridgework, and those wearing orthodontic appliances.52-55 Individuals who are noncompliant with flossing also benefit from use of a water jet device; adding oral irrigation to either manual or sonic toothbrushing is a viable alternative to using a manual toothbrush and dental floss for reducing plaque, bleeding, and gingival inflammation.56
Although research has shown that irrigation with plain water is efficacious, efficacy improves with the addition of antimicrobial agents, such as chlorhexidine or essential oil (EO) mouthrinse (see below).57-61 It is interesting to note that in many clinical trials, reduction of gingival bleeding and inflammation did not necessarily correlate to the level of plaque reduction, which suggests that there is another mechanism of action of the water jet. Samples taken from gingival crevicular fluid 8 hours after use of a water jet found decreased levels of the proinflammatory mediator interleukin (IL)-1 beta but increased levels of the antiinflammatory mediator IL-10, suggesting that the use of a water jet irrigator may produce a local host modulatory effect.62 Similar host modulatory effects have also been observed in a 3-month clinical trial assessing oral irrigation use in subjects with diabetes via inflammatory markers in blood serum.54
Daily use of oral irrigation with a water jet device (Waterpik, Glacier Floss, Showerfloss, Oral Breeze) provides a safe, easy, and convenient way to improve oral health. Consumers should be referred for guidance and instructions for proper use."